Vous êtes ici : Accueil > Projections-rencontres > Archives > Archives sainson 2007-2008 > Le festival 2008 > Dimanche 17 février
12h |
Europe, Turquie, Syrie, Jordanie, Egypte, Soudan, Ethiopie, Kenya, Tanzanie, Malawi, Afrique du Sud |
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13h45 |
Turquie, Iran, Turkménistan, Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan, Chine, Japon |
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15h |
Nicaragua, Costa-Rica, Panama, Équateur, Pérou, Bolivie, Argentine |
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16h15 |
Russie |
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18h |
Maroc, Mauritanie, Mali, Nord Niger |
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19h45 |
Inde, Indonésie, Afrique du Sud, Mexique, Argentine, Brésil, Japon |
Le programme de la veille : samedi 16 février 2008
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Marie-Hélène et Yannick Billard rejoignent et traversent l'Afrique à vélo à la découverte de 30 initiatives de solidarité.
Le couple pédale plus de 16 000 kilomètres jusqu'à une terre au nom symbolique : le Cap de Bonne Espérance.
Tant de questions se posent aujourd'hui quant aux moyens de rétablir plus d'équité Nord-Sud, qu'ils décide que leur itinéraire prendra la forme d'un point d'interrogation de la taille de 2 continents !
Deux cousines cheminent vers le Japon d'avril à août 2007.
Leur but : comprendre comment fonctionnent les familles du continent asiatique. Foyer kirghize dont plusieurs générations vivent sous le même toit, épouse japonaise au mari trop éloigné de l'éducation de ses enfants, veuve tadjik se confiant sur son amant…
Au fil des discussions et du partage quotidien, Amélie Kuhn et Agnès Renaudin se confrontent aux mutations sociales des pays qu'elles traversent.
Elles recueillent ces moments de partage grâce à l'écriture, la photo et le dessin.
Convaincus que la pauvreté n'est pas une fatalité liée à l'insuffisance des ressources mais le reflet d'inégalités économiques et sociales, Laurence Colleu et Lionel Brun partent à la rencontre des acteurs du commerce équitable.
Ils sillonnent l'Amérique du Sud à vélo du Nicaragua à l'Argentine, afin de rencontrer des producteurs de café, cacao, sucre et bananes.
Bien plus qu'un simple moyen de transport, le vélo se révèle être un excellent passeport pour la rencontre.
Au fil des kilomètres, ils découvrent le continent sud-américain, ses habitants, ses cultures et ses paysages.
Quatre ans après une expédition en canoë à travers l'Alaska, Guillaume Julian se lance avec quatre autres naturalistes dans un périple de l'autre coté du détroit de Béring, au Kamtchatka.
L'équipe mène une expédition de 500 kilomètres au fil de la rivière éponyme, au rythme lent et écologique du canoë. Elle arpente le volcan Kliouchevskoï (4688 mètres) et s'immerge au cœur de la nature sauvage, sur les traces des premiers explorateurs naturalistes russes, 267 ans après Stephan Krachéninnikov et George Guillaume Steller.
Paradoxalement, un des prédateurs de ce milieu, le braconnier, est omniprésent durant le voyage, qu'il pêche le saumon (avant d'en faire une excellente soupe ou de montrer le processus de fabrication du caviar) ou recherche des ours bruns pour leur bile et leur peau. Après une longue quête et des rencontres avec des naturalistes ou photographes animaliers, Guillaume Julian et ses compagnons, finissent par rencontrer leur premier ours. Il les charge.
Niger 2005. Alors que les températures dépassent régulièrement les 50°C à l'ombre, l'explorateur Pierre Schmitt plonge seul et à pied à la rencontre d'un mythe : le désert du Ténéré. Il remonte les contreforts Est du Massif de l'Aïr, un fief Touareg aujourd'hui en rébellion.
Il part sans guide, ni même un chameau, tirant un simple traîneau artisanal, une autonomie d'un mois et demi de vivres et 2,5 litres d'eau à boire par 24h. Il traverse sur 700 km et en 4 étapes (points d'eau), l'une des zones les plus arides de la planète. Sa quête : « voyager aux frontières mentales et physiologiques de l'acclimatation du métabolisme, pour se rapprocher du légendaire peuple Touareg et essayer de comprendre pourquoi ses nomades ne quitteraient pour rien au monde ces contrées aussi hostiles où règne un Rien (apparemment) absolu ».
« Je pars dans des déserts hyper-arides complètement vides... pour finalement rencontrer du monde, et mieux connaître l'Autre ! » explique Pierre. Il a aussi trouvé dans la vie des nomades touaregs, une part de lui même qui vit à présent là-bas. Il repart le plus souvent possible dans les montagnes de l'Aïr rejoindre ses amis, leur campement et Abzao son chameau...
Comédienne française, Marilia de Lorgeril effectue un tour du monde à la découverte de sa diversité théâtrale. Parmi la dizaine de pays qu'elle traverse avec son compagnon Sylvain Peuch, elle est marquée par l'Inde, l'Indonésie, l'Afrique du Sud, le Mexique, l'Argentine, le Japon et le Brésil. Certains des comédiens qu'elle rencontre s'investissent dans les formes de théâtre traditionnelles parfois menacées de disparition. Ces rencontres l'amènent au cœur du pays, de ses croyances et de sa culture.
Marilia revêt parfois à son tour ses habits de comédienne. Elle donne un spectacle pour enfants dans un village isolé d'Afrique du Sud, une favelas du Brésil, un orphelinat indien, etc.
Ce diaporama retrace les grands moments du voyage et nous fait découvrir les découvertes les plus étonnantes du jeune couple.
Marilia de Lorgeril est lauréate de la Bourse Culture-Aventure 2006